Littérature
Projets de fin d’année
À distance, mais plus près que jamais. L’atelier nous a liés bien plus qu’on ne le pense. Au début des classes, chacune et chacun étaient des étoiles naissantes. Et maintenant que l’atelier prend fin, nous sommes devenus une constellation d’étoiles. Sans s’être vus une seule fois en vrai, nos idées et nos textes, eux, se sont entremêlés. Nous sommes douze étoiles ayant toutes un style, un imaginaire et un processus d’écriture uniques. Grâce à l’atelier, nous avons expérimenté une panoplie d’exercices d’écritures ce qui a permis un approfondissement de notre technique. Certains ont changé leur vision sur leur pratique d’écriture, d’autres cherchent encore leur style.
Plus intimes que jamais, nous nous sommes dévoilés à travers notre imagination. Certains ont vaincu la peur de lire leur texte à haute voix et tous ont pu développer leur plume à leur manière. Une confiance s’est créée entre chacune et chacun et une confiance en notre écriture s’est formée. Notre esprit critique enrichi par les commentaires et les opinions de tous ont pu nous rendre plus attentifs aux détails. Ainsi, nous avons réalisé que nos mots portent un poids différent maintenant et qu’ils doivent être utilisés astucieusement. L’atelier nous a poussés à écrire plusieurs genres littéraires et cela nous a libérés des contraintes que nous nous étions imposées consciemment ou inconsciemment. Avant tout, l’atelier a été un lieu d’échanges, de nouveautés et surtout une reconnaissance de l’autrice et de l’auteur qui se trouve en nous. Nous sommes fières, je crois, d’avoir créé la revue Textures à notre image, et ce toujours en collaboration malgré la distance.
Marie-Charlotte Beaulieu
Finissante du programme Littérature

Anabelle Guilbeault
Née sur la rive-nord de Montréal, Anabelle Guilbeault fait un Double DEC en sciences de la nature et en littérature au Cégep de Saint-Laurent. Il lui reste encore une longue année d’études collégiales. Elle est fascinée par les mots et les histoires depuis qu’elle est toute petite. En quête de sens, elle lit et écrit pour oublier la pile d’exercices de math qui l’attend et les autres peines quotidiennes. Souvent, ça fonctionne un peu trop bien.

Carolane Naud
Venant du fin fond du bois, quelque part, probablement au milieu des ours, des lynx, des coyotes et de quelconques autres animaux préhistoriques, Carolane à voulut étudier dans tous les programmes possibles avant de s’arrêter à la littérature. Passionnée de l’horreur et des fins tragiques, elle poursuit ses études, café à la main, se demandant bien comment chaque travail d’écriture demandé pourrait tourner au macabre.

Coralie Rolland
Née au tournant du nouveau millénaire, Coralie Rolland collectionne les minutes depuis cet inévitable évènement. 1,08×107 minutes à être allergique aux chats, 9,36×106 minutes à avoir peur des grands-mères aux cheveux faux-auburn, 7,78×106 minutes à accumuler les mots sur des documents Word (on ne mentionnera pas ses premières œuvres où il était question des aventures d’une elfe nommée Eilaroc, et encore moins l’originalité du précédent nom), 9,42×105 minutes à vivre le plus loin possible de sa ville de naissance Saint-lost-dans-l’bois (tout aussi peu connu sous le nom de Saint-Didace) et 6,49×105 minutes d’insomnie causée par son chat anxieux.
Son envie de travailler dans le domaine de la santé animale l’a poussé à s’inscrire en Science de la Nature, alors que son désir d’éconduire brutalement un certain Dylan P. qui s’était moqué de ses écrits lorsqu’elle avait onze ans et qui lui avait dit que jamais elle ne pourrait publier quoi que ce soit l’encouragea à plutôt s’orienter vers un double-DEC Science de la Nature et Littérature au Cégep de Saint-Laurent. Sans vraiment avoir quelconque certitude en ce qui concerne son futur, cette jeune femme au nom qui sonne vraiment trop comme rouli-roulant soutient que tant que son avenir inclut au moins soixante-douze chats, quarante-deux chiens, une vingtaine de reptiles et une communauté d’oiseaux, elle sera satisfaite.
(Non, je n’offrirai aucune autre photo. Certains connaissent probablement l’incident Zoom de l’avocat au visage de chat qui promettait ne pas en être un, je tiens donc à spécifier qu’il serait – dans la situation présente – impossible de prouver que je ne suis PAS un chat. Si un filtre transforme un humain en félin, l’inverse est tout aussi plausible et, de par ce fait, ma photo est tout aussi valide. Merci d’avoir assisté à mon TED Talk.)

Loryane Fontaine
Dans sa petite maison de L’Île-Bizard-Sainte-Geneviève, Loryane Fontaine a su développer son intérêt pour le français, pour la lecture. À douze ans, elle écrivait déjà sur diverses plateformes sociales, mais ça, c’est un secret qu’elle se permet de garder. Son passage en Littérature à Saint-Laurent lui aura permis de développer à la fois son vocabulaire, son œil critique et, surtout, sa capacité à se taper des huit heures de lecture deux jours avant ses séminaires. À cause de cette mauvaise mais efficace habitude, elle rêvait parfois d’auteurs passionnants comme Kafka, Dostoïevski, Montaigne… Heureusement pour elle, elle ne rencontrera peut-être jamais plus ces noms car, malgré son parcours en lettres, c’est l’apprentissage des langues qui la passionne, d’où est né son désir d’enseigner le français aux nouveaux arrivants.

Lianne MacMillan
Née en 2001 à Montréal, Lianne MacMillan est une autrice qui s’inspire de sa vie pour écrire. Inventer des situations ne lui plait pas autant que d’exagérer une partie de son vécu. Cette accro aux jeux-vidéos a une dépendance au sucre et lorsqu’elle n’écrit pas, on peut la trouver au Dairy Queen essayant de choisir une saveur de slush. Avec trois années d’expérience de service à la clientèle, elle sait garder le sourire à tout moment.

Sara Létourneau
Sara (sans h) Létourneau, originaire du Québec et née la même année que la sortie du single Without Me d’Eminem, est une finissante en Littératures au Cégep de Saint-Laurent. Elle a fait ses études à la Cité-des-Jeunes, école secondaire située à Vaudreuil-Dorion, et faisait partie du comité vert de son école. Elle écrivait déjà des histoires pour sa famille à l’âge de neuf ans et développa rapidement une passion pour la langue française. Sportive dans l’âme, elle joue au soccer depuis qu’elle a cinq ans et faisait partie du programme sport de son école. Sara décida d’entreprendre des études en Littératures pour devenir professeure de français sur une réserve autochtone, suite à sa visite de Wemotaci en 2018. Pour ce qui est du futur, personne ne sait vraiment ce qu’elle réserve à la vie. .

Florence Dionne
Florence Dionne est née un lundi sous la constellation du Taureau. Elle sera bientôt une ancienne étudiante en Littérature du cégep de Saint-Laurent et compte diriger son attention vers ses plantes et ses livres. Florence a participé à la Retraite d’écriture 2019 de l’Université McGill et à la première édition de l’Intercollégial de la revue littéraire. Elle a à ses côtés un chat prénommé Zuko.

Alexandra Travers
Alexandra Travers est née à Montréal, mais a grandi à Trois-Rivières, une ville où la poésie bat son plein. Depuis 2019, elle gère un blogue littéraire où elle y publie des nouvelles. Elle est revenue dans sa ville natale, en 2018, afin d’étudier la littérature au Cégep de Saint-Laurent.

Julien Marin-Lévesque
Julien Marin-Lévesque voit le jour en 2002 dans la charmante ville de Salaberry-de-Valleyfield. Ce n’est que 8 ans plus tard qu’il déménage avec sa famille à Montréal. Après une courte période d’adaptation, le jeune homme s’est attaché à la vie en milieu urbain et n’a plus jamais regardé en arrière. En ce qui concerne son rapport aux lettres, son parcours commence à la fin du secondaire, à la croisée des chemins. Un peu perdu, il choisit de s’inscrire au cégep en littérature, car le français est sa matière préférée à l’école. Depuis, son intérêt pour la lecture et l’écriture n’ont fait que s’agrandir.

Florence Côté-Couture
Née à Brossard bien avant que le DIX30 existe, Florence Côté-Couture est finissante en littérature au Cégep de Saint-Laurent. Ayant toujours eu une vie marquée par le quotidien et remplie de banalités, son manque d’expérience lui cause beaucoup de maux de tête lorsque vient le temps d’écrire une biographie intéressante. Co-propriétaire d’une embarcation nautique, elle passe ses étés à porter son canot jusqu’à divers plans d’eau pour s’y poser sans jamais ramer, et ce, au détriment de sa partenaire de rame. Celle que personne ne surnomme “Rence-Rence” adore utiliser le mot « fantastique », déteste les consonnes et son père aurait voulu qu’elle devienne ingénieure.

Marie-Charlotte Beaulieu
Inscrite au Double DEC Littérature et Sciences de la nature au Cégep de Saint-Laurent, Marie-Charlotte Beaulieu est née à Montréal sur le Plateau Mont-Royal avant que celui-ci devienne la place préférée des bobos. Adorant écrire des poèmes et de la prose depuis son enfance, les mots ont toujours fait partie de son quotidien, et ce, soit par l’écriture ou la lecture. Seulement, Marie-Charlotte ne peut se contenter que de l’univers littéraire, les sciences attisent sa curiosité et le mélange de ces deux mondes se complète pour elle. Concernant l’avenir, tout serait possible pour elle, mais la psychologie a gagné son cœur.

Mariève Perrault Rocheleau
Mariève Perrault Rocheleau est née le 2 février 2002, remportant alors le prix de la date de naissance dont on se souvient le plus facilement. Dès l’enfance elle a eu la chance de développer son intérêt pour les arts ; elle a fait ses études secondaires dans le profil Musique-études, mais la lecture et l’écriture ont toujours fait partie de son quotidien. Elle complète à présent sa deuxième année au Cégep de Saint-Laurent en Double DEC en littérature et en musique. Ses études en chant et en lettres en plus de sa participation à l’improvisation collégiale lui permettent de continuer à nourrir sa passion pour les arts.